jeu, 01/06/2011 - 16:43

« TOUS AUX URNES » - épisode 1

« Tous aux urnes ! » est un web feuilleton de 12 épisodes qui, au fil des semaines, va raconter la bataille démocratique vue de l’intérieur de la commune 5 de Niamey, une commune où le peuple des quartiers périphériques de la ville côtoie encore une majorité de paysans – à l’instar du pays, paysan à 80%.

Le feuilleton va montrer la préparation et le déroulement des différents scrutins dans cette commune très disputée, à travers les candidats et les organisateurs et, bien sûr, le peuple nigérien, incarné par les électeurs. Il s’agit de montrer quelle place occupe la politique dans la vie des gens, que ls sont les moteurs du vote ou de l’abstention, comment s’organisent les élections sur divers plans – pratique, administratif, politique – ainsi que les procédures de contrôle du bon déroulement de ces élections, dont le régime a promis qu’elles seraient libres, honnêtes et transparentes.

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7 Comments

aouasabder - sam, 02/26/2011 - 10:24

je n'ai rien trouvé sur l'algérie mais je me hasarde quand même à parler brièvement de mon pays: un beau pays qui a eu la malchance d'avoir le pétrole qui nous a rendu dépendant de la rente.Malheureux.

algeriangirl - mer, 02/23/2011 - 21:10

bsr a tous notre pays l'algérie é guidé par des gens copompu les grosses tete de notre system

BHK (non vérifié) - mar, 02/22/2011 - 21:22

Cher Colonel, la voix du peuple a parlé. Fidèle à France 24, moi Kimba Harouna, j'ai suivi votre discour sur france 24, BFM TV et Eldjazira. Le temps de la vérité a sonné. Ni les tunisiens exilé en Libye, ni les africains noirs exilés en Libye ne sont responsables de ce qui arrive à la Libye. L'amitié Libyo-Africaine est connue de tous. Alors, un combat revolutionaire ne necessité pas de mettre les riches et les pauvres dans le meme bateau. Est ce qu'aujord'hui, la leçon Tunisienne et Egyptienne ne suffisent pas pour faire refléchir sur la vie en communauté. Car cher colonel, vous ayant connu à l'age de 12 ans, lors de votre visite au Niger , reçu par le Feu premeir président Diori Hamani. Dans votre discours, vous avez présenté votre livre vert comme mode de gouvernement. Cher capitaine, car vous étiez capitaine à l'époque, 40 ans après au pouvoir, je vous interpelle sur France 24. Vous avez toujours clamer que c'est le peuple qui décide en Libye. Recemment au Mali, vous avez évoqué l'impérialisme occidental. Est ce que vous n'etes pas vous aussi un impérialiste à votre manière. Cher colonel, vous vous êtes battus pour l'union Africaine, certains on cru en votre idéologie, est ce qu'il n'est pas aujourd'hui temps de tout mettre sur la table et en acceptant les honneurs. Cher Colonel, le vent de la réalité a soufflé. Il ne s'agit ni d'Européens, ni d'impérialisme mais le seul ennemi est la pauvreté et l'injustice. Je termine par ceci: vive le monde , la démocratie. Abat toutes les formes de dictature. BHK

Ismaèl (non vérifié) - sam, 01/08/2011 - 19:15

je prie dieu pour que le futur président de notre chère beau pays le Niger soit un président qui respecte la volonté du peuple et qui sait répondre aux différentes demandes de la part du peuple. un président qui offrira au Niger un visage nouveau et digne de ce beau pays. un président qui par la grâce de dieu le fera grandir et connu positivement par le monde entier le Niger. un président qui fera en sorte que lorsque l'on parlera du Niger, ce sera parler de son développement, sa richesse, sa joie et son bonheur; au lieu des enlèvements; famine et rebellion. un président qui fera en sorte que la population crie, satiété au lieu de famine et misère. un président pour la population et non pour ses intérêts personnels.

fondation matoub (non vérifié) - sam, 01/08/2011 - 17:23

salut nous somme la fondation lounes matoub la structure culturelle la plus visitée en Afrique du nord avec 100 personne par jour. j aime bien pouvoir contacter un de vous pour donner le meilleur de nous meme...merci .AZIZ le chargé a la communication

Ismaèl (non vérifié) - sam, 01/08/2011 - 17:21

ah oui il est temps pour le Niger de retrouver son vrai visage, et le sourire car nous avons trop souffert a cause d4un régime qui n`était que pour ses intérêt personnel et non pour la population. il est temps pour le Niger de briller et d`être considérer aux yeux du ;onde entier.

Badijé Harouna Kimba (non vérifié) - jeu, 01/06/2011 - 20:07

Nous voilà bientôt lancés dans une démocratie. Par certains fils composants de ce pays, c'était le souhait des premiers fondateurs et le premier président père de la république Diory Hamani. Après le régime de Diory qui était un régime qui voulait instaurer définitivement la démocratie dans ce pays, malgré que certains fils de ce pays ne l'ont pas compris. Ce 8 janvier, les nigériens vont pouvoir voter pour l'instauration totale d'institutions démocratiques. Une voix qui permet à tout un chacun de s'exprimer par les institutions juridiques et l'occasion est venue qu'il y ait un régime de transparence. Que l'enrichissement du pays doit être un guide pour nos futurs dirigeants. Qu'enfin les nigériens tant de la classe des cadres que la classe supérieure qui sera élue doivent rompre avec la corruption. Nous avons vu arriver le président Tandja qui a promis un pays de luxe alors que les nigériens meurent de faim. Et mon souhait le plus ardent, c'est que le Niger retrouve son temps ancien dans les institutions internationales comme l'ex-secrétaire général de l"Union Africaie feu Idé Oumarou qui s'est battu sur le plan international pour lever la tête haute et porter la voix du Niger, comme Mamadou Oumarou. Aujourd'hui nous avons besoin de paix et rattraper le retard que nous a mis le dictateur Tandja. BHK - Belgique

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Il y a moins d'un an, le 18 février 2010, le commandant Salou Djibo renversait par un coup d'Etat le président Tandja Mamadou, qui avait provoqué une grave crise politique en se maintenant au pouvoir en violation de la Constitution nigérienne. Depuis, le régime de Transition progresse à grands pas vers le rétablissement déterminé de la démocratie, conformément à l'engagement pris par les militaires. Le 6 avril, le chef de l'Etat remettra officiellement le pouvoir à un nouveau président, à l'issue de trois mois de scrutins qui consacreront le retour de dirigeants élus démocratiquement aux niveaux municipal, régional, législatif et présidentiel.
Auteur Nathalie Prevost